Laurent Gounelle sur les croyances...
« en quoi ce qu’on l’on croit sur soi, les autres, le monde, génère notre réalité ». C’est un thème qui me passionne. J’étais en vacances à la montagne. L’idée du livre commençait à me trotter dans la tête. J’ai repensé à un vieux monsieur que j’ai rencontré en 1995. C’était à l’autre bout du monde, en Indonésie, sur l’ile de Bali. Ce monsieur était un guérisseur, que j’ai eu l’occasion de rencontrer un peu par hasard. Son image m’est venue à l’esprit et j’ai pensé en faire le personnage principal du livre. C’est lui qui distille les enseignements autour de cette idée que je veux transmettre.
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C’est l’histoire d’un homme assez jeune qui entend parler d’un guérisseur. On lui vante tellement sa réputation et ses qualités qu’il décide d’aller le rencontrer. Il n’est pas malade, c’est plus par curiosité. Il pense que ça peut lui apporter quelque chose. En fait, le vieux guérisseur l’ausculte et pose son diagnostique : le jeune homme est en bonne santé mais son problème est qu’il n’est pas heureux. Il est très surpris, il pensait que c’était un guérisseur des corps et il ne s’attendait pas à un guérisseur des âmes. Partant de là, le vieux sage va le guider dans un ensemble d’expériences et d’épreuves que le jeune homme va vivre. Ce sont ces épreuves, ces expériences, et les dialogues avec le guérisseur qui vont l’amener à réaliser ce qui l’empêche d’être vraiment heureux et de s’en libérer.
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Le monde, la société en général, sont moins hostiles qu’ils n’y paraissent. Cette hostilité qu’on peut percevoir autour de soi avec beaucoup de sincérité, on ne réalise pas forcément qu’elle peut être désamorcée par le fait d’aller vers les autres avec une certaine candeur. Si on prête aux autres, même à des inconnus, une intention positive, on va les amener à être ainsi avec nous, positifs, gentils, agréables, attentionnés.
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Il y a un niveau philosophique comme par exemple le fait que la plupart des peurs qui nous retiennent dans la vie sont une création de notre esprit. C’est une idée un peu philosophique. La question suivante est « qu’est ce que j’en fais dans ma vie quotidienne ? ». Dans le livre, j’ai voulu qu’une notion telle que celle là soit traduite en idées et comportements précis. Par exemple, j’ai une peur qui m’empêche de réaliser un projet qui me tient à coeur. Le livre me dit concrètement comment je peux savoir que cette peur est une création de mon esprit, où si elle correspond à une réalité à éviter. Il me dit concrètement comment je peux faire pour le savoir et pour m’en libérer s’il s’avère que cette peur n’est pas la réalité.
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C’est l’histoire d’un homme assez jeune qui entend parler d’un guérisseur. On lui vante tellement sa réputation et ses qualités qu’il décide d’aller le rencontrer. Il n’est pas malade, c’est plus par curiosité. Il pense que ça peut lui apporter quelque chose. En fait, le vieux guérisseur l’ausculte et pose son diagnostique : le jeune homme est en bonne santé mais son problème est qu’il n’est pas heureux. Il est très surpris, il pensait que c’était un guérisseur des corps et il ne s’attendait pas à un guérisseur des âmes. Partant de là, le vieux sage va le guider dans un ensemble d’expériences et d’épreuves que le jeune homme va vivre. Ce sont ces épreuves, ces expériences, et les dialogues avec le guérisseur qui vont l’amener à réaliser ce qui l’empêche d’être vraiment heureux et de s’en libérer.
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Le monde, la société en général, sont moins hostiles qu’ils n’y paraissent. Cette hostilité qu’on peut percevoir autour de soi avec beaucoup de sincérité, on ne réalise pas forcément qu’elle peut être désamorcée par le fait d’aller vers les autres avec une certaine candeur. Si on prête aux autres, même à des inconnus, une intention positive, on va les amener à être ainsi avec nous, positifs, gentils, agréables, attentionnés.
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Il y a un niveau philosophique comme par exemple le fait que la plupart des peurs qui nous retiennent dans la vie sont une création de notre esprit. C’est une idée un peu philosophique. La question suivante est « qu’est ce que j’en fais dans ma vie quotidienne ? ». Dans le livre, j’ai voulu qu’une notion telle que celle là soit traduite en idées et comportements précis. Par exemple, j’ai une peur qui m’empêche de réaliser un projet qui me tient à coeur. Le livre me dit concrètement comment je peux savoir que cette peur est une création de mon esprit, où si elle correspond à une réalité à éviter. Il me dit concrètement comment je peux faire pour le savoir et pour m’en libérer s’il s’avère que cette peur n’est pas la réalité.
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